martes, 24 de abril de 2012

Pour tous ceux-là dont le grand mal de tête est la conjugaison de verbes nous présentons l'option suivante clique seulement ici.

http://www.la-conjugaison.fr/
Et pour tous ceux qui cherchent à être certifiés par les exemens Delf et Dalf montrons les liens suivants où ils trouveront une grande variété d'exercices pour pratiquer.

http://www.ciep.fr/delfdalf/

http://www.ciel.fr/apprendre-francais/preparation-examen/comprehension-test.htm
Nous leur présentons une très bonne option pour pratiquer et pour améliorer notre grammaire clique seulement dans ce lien.
http://www.bonjourdefrance.com/index/indexgram.htm

El subjuntivo en Francés y en Español

 

Le subjonctif, aussi en français qu'en espagnol, est essentiellement le mode de la subordination, de l'indécision, du doute, du fait pensé. C'est aussi le mode le plus délicat d'emploi.
En français, il a quatre temps qui vont deux par deux : présent et passé, imparfait et plus-que-parfait.
- le présent exprime aussi bien le futur (Je veux que tu écrives la préface au mois de mars de l'année prochaine).
- le passé exprime l'antériorité par rapport au moment actuel (Je veux qu'il ait connu le second personnage au moment où il abandonne son travail).
- le plus-que-parfait exprime l'antériorité par rapport à l'imparfait (Je voulais que tu eusses connu mon enfance).
En espagnol, il a six temps : dont 3 temps simples présent, imparfait et futur simple, et 3 composés: plus-que-parfait, passé parfait et futur composé.
- le présent exprime aussi bien le futur (Deseo que escribas el prólogo del libro en marzo del año próximo)
- le passé exprime l'antériorité par rapport au moment actuel (Me hubiera gustado que conozcas a Juan
- le plus-que-parfait exprime une condition au passé (Si lo hubiera sabido, te lo habría comentado)
- le futur est en désuétude.
Français
Le subjonctif présent
Pour les verbes du premier groupe et les verbes du troisième groupe en -ir, les trois personnes du singulier ainsi que la troisième personne du pluriel sont identiques à celle du présent de l'indicatif. Pour les premières et deuxième personnes du pluriel, les terminaisons sont identiques à l'imparfait du subjonctif. En effet, un i apparaît.
Pour les autres verbes, le radical est souvent différent au subjonctif présent par rapport au présent de l'indicatif (je le sais et il faut qu'il le sache). Souvent les deux premières personnes du pluriel sont les mêmes avec l'imparfait de l'indicatif. Enfin, dans la majorité des cas, la troisième personne du pluriel est identique avec le présent de l'indicatif.
Voici les terminaisons du présent du subjonctif :
Personne              Verbe du 1er groupe                   Verbe du 2e groupe                       Verbe du 3e groupe
je                              radical+ e                                       radical+ isse                                        radical+ e
tu                              radical+ es                                     radical+ isses                                     radical+ es
il/elle/on               radical + e                                      radical+ isse                                       radical+ e
nous                        radical + ions                                radical + issions                                  radical + ions
vous                        radical + iez                                   radical+ issiez                                    radical+ iez
ils/elles                   radical + ent                                 radical + issent                                radical+ ent
Personne
Aimer
Finir
Tenir
que je
 que tu
qu'il
que nous
que vous
qu'ils
aim - a - ss - e
aim - a - ss - es
aim - â - t
aim - a - ss - i ons
 aim - a - ss - i - ez
aim - a - ss - ent
fini - ss e
 fini - ss - es
finî - t
fini - ss - i ons
 fini - ss - i - ez
fini - ss - ent
t - in - ss e
 t - in - ss - es
t - în - t
t - in - ss - i ons
 t - in - ss - i ez
 t - in - ss - ent
Personne
Ouvrir
Pouvoir
Venir
que je
 que tu
qu'il
que nous
que vous qu'ils
ouvr - i - ss e
 ouvr - i - ss - es
ouvr - î - t
ouvr - i - ss - i - ons
ouvr - i - ss - i - ez
ouvr - i - ss - ent
p - u - ss - e
p - u - ss - es
p - û - t
p - u - ss - i - ons
p - u - ss - i ez
 p - u - ss - ent
v - in - ss e
 v - in - ss - es
v - în - t
v - in - ss - i - ons
v - in - ss - i - ez
v - in - ss - ent

Radio française

Voici le progamme de radio plus connu en France: Radio Vitamine. : )http://www.radiovitamine.com/radio/ecouter-vitamine

Le secret de Maitre Cornilles

Le Secret de maître Cornille

Francet Mamaï, un vieux joueur de fifre, qui vient de temps en temps faire la veillée chez moi, en buvant du vin cuit, m’a raconté l’autre soir un petit drame de village dont mon moulin a été témoin il y a quelque vingt ans. Le récit du bonhomme m’a touché, et je vais essayer de vous le redire tel que je l’ai entendu.
Imaginez-vous pour un moment, chers lecteurs, que vous êtes assis devant un pot de vin tout parfumé, et que c’est un vieux joueur de fifre qui vous parle.
Notre pays, mon bon monsieur, n’a pas toujours été un endroit mort et sans renom, comme il est aujourd’hui. Autre temps, il s’y faisait un grand commerce de meunerie, et, dix lieues à la ronde, les gens des mas nous apportaient leur blé à moudre... Tout autour du village, les collines étaient couvertes de moulins à vent. De droite et de gauche on ne voyait que des ailes qui viraient au mistral par-dessus les pins, des ribambelles de petits ânes chargés de sacs, montant et dévalant le long des chemins ; et toute la semaine c’était plaisir d’entendre sur la hauteur le bruit des fouets, le craquement de la toile et le Dia hue ! des aides-meuniers... Le dimanche nous allions aux moulins, par bandes. Là-haut, les meuniers payaient le muscat. Les meunières étaient belles comme des reines, avec leurs fichus de dentelles et leurs croix d’or. Moi, j’apportais mon fifre, et jusqu’à la noire nuit on dansait des farandoles. Ces moulins-là, voyez-vous, faisaient la joie et la richesse de notre pays.
Malheureusement, des Français de Paris eurent l’idée d’établir une minoterie à vapeur, sur la route de Tarascon. Tout beau, tout nouveau ! Les gens prirent l’habitude d’envoyer leurs blés aux minotiers, et les pauvres moulins à vent restèrent sans ouvrage. Pendant quelque temps ils essayèrent de lutter, mais la vapeur fut la plus forte, et l’un après l’autre, pécaïre ! ils furent tous obligés de fermer... On ne vit plus venir les petits ânes... Les belles meunières vendirent leurs croix d’or... Plus de muscat ! plus de farandole !... Le mistral avait beau souffler, les ailes restaient immobiles... Puis, un beau jour, la commune fit jeter toutes ces masures à bas, et l’on sema à leur place de la vigne et des oliviers.
Pourtant, au milieu de la débâcle, un moulin avait tenu bon et continuait de virer courageusement sur sa butte, à la barbe des minotiers.
C’était le moulin de maître Cornille, celui-là même où nous sommes en train de faire la veillée en ce moment.

Maître Cornille était un vieux meunier, vivant depuis soixante ans dans la farine et enragé pour son état. L’installation des minoteries l’avait rendu comme fou. Pendant huit jours, on le vit courir par le village, ameutant le monde autour de lui et criant de toutes ses forces qu’on voulait empoisonner la Provence avec la farine des minotiers. «N’allez pas là-bas, disait-il ; ces brigands-là, pour faire le pain, se servent de la vapeur, qui est une invention du diable, tandis que moi je travaille avec le mistral et la tramontane, qui sont la respiration du bon Dieu...» Et il trouvait comme cela une foule de belles paroles à la louange des moulins à vent, mais personne ne les écoutait.
Alors, de male rage, le vieux s’enferma dans son moulin et vécut tout seul comme une bête farouche. Il ne voulut pas même garder près de lui sa petite-fille Vivette, une enfant de quinze ans, qui, depuis la mort de ses parents, n’avait plus que son grand au monde.
La pauvre petite fut obligée de gagner sa vie et de se louer un peu partout dans les mas, pour la moisson, les magnans ou les olivades.
Et pourtant son grand-père avait l’air de bien l’aimer, cette enfant-là. Il lui arrivait souvent de faire ses quatre lieues à pied par le grand soleil pour aller la voir au mas où elle travaillait, et quand il était près d’elle, il passait des heures entières à la regarder en pleurant...
Dans le pays on pensait que le vieux meunier, en renvoyant Vivette avait agi par avarice ; et cela ne lui faisait pas honneur de laisser sa petite-fille ainsi traîner d’une ferme à l’autre, exposée aux brutalités des baïles et à toutes les misères des jeunesses en condition. On trouvait très mal aussi qu’un homme du renom de maître Cornille, et qui, jusque-là, s’était respecté, s’en allât maintenant par les rues comme un vrai bohémien, pieds nus, le bonnet troué, la taillole en lambeaux... Le fait est que le dimanche, lorsque nous le voyions entrer à la messe, nous avions honte pour lui, nous autres les vieux ; et Cornille le sentait si bien qu’il n’osait plus venir s’asseoir sur le banc d’œuvre. Toujours il restait au fond de l’église, près du bénitier, avec les pauvres.
Dans la vie de maître Cornille il y avait quelque chose qui n’était pas clair. Depuis longtemps personne, au village, ne lui portait plus de blé, et pourtant les ailes de son moulin allaient toujours leur train comme devant... Le soir, on rencontrait par les chemins le vieux meunier poussant devant lui son âne chargé de gros sacs de farine.
— Bonnes vêpres, maître Cornille ! lui criaient les paysans ; ça va donc toujours, la meunerie.
— Toujours, mes enfants, répondait le vieux d’un air gaillard. Dieu merci, ce n’est pas l’ouvrage qui nous manque.
Alors, si on lui demandait d’où diable pouvait venir tant d’ouvrage, il se mettait un doigt sur les lèvres et répondait gravement : «Motus ! je travaille pour l’exportation...» Jamais on n’en put tirer davantage.
Quant à mettre le nez dans son moulin, il n’y fallait pas songer. La petite Vivette elle-même n’y entrait pas...
Lorsqu’on passait devant, on voyait la porte toujours fermée, les grosses ailes toujours en mouvement, le vieil âne broutant le gazon de la plate-forme, et un grand chat maigre qui prenait le soleil sur le rebord de la fenêtre et vous regardait d’un air méchant.
Tout cela sentait le mystère et faisait beaucoup jaser le monde. Chacun expliquait de sa façon le secret de maître Cornille, mais le bruit général était qu’il y avait dans ce moulin-là encore plus de sacs d’écus que de sacs de farine.

À la longue pourtant tout se découvrit ; voici comment :
En faisant danser la jeunesse avec mon fifre, je m’aperçus un beau jour que l’aîné de mes garçons et la petite Vivette s’étaient rendus amoureux l’un de l’autre. Au fond je n’en fus pas fâché, parce qu’après tout le nom de Cornille était en honneur chez nous, et puis ce joli petit passereau de Vivette m’aurait fait plaisir à voir trotter dans ma maison. Seulement, comme nos amoureux avaient souvent occasion d’être ensemble, je voulus, de peur d’accidents, régler l’affaire tout de suite, et je montai jusqu’au moulin pour en toucher deux mots au grand-père...
Ah ! le vieux sorcier ! il faut voir de quelle manière il me reçut ! Impossible de lui faire ouvrir sa porte. Je lui expliquai mes raisons tant bien que mal, à travers le trou de la serrure ; et tout le temps que je parlais, il y avait ce coquin de chat maigre qui soufflait comme un diable au-dessus de ma tête.
Le vieux ne me donna pas le temps de finir, et me cria fort malhonnêtement de retourner à ma flûte ; que, si j’étais pressé de marier mon garçon, je pouvais bien aller chercher des filles à la minoterie... Pensez que le sang me montait d’entendre ces mauvaises paroles ; mais j’eus tout de même assez de sagesse pour me contenir, et, laissant ce vieux fou à sa meule, je revins annoncer aux enfants ma déconvenue...
Ces pauvres agneaux ne pouvaient pas y croire ; ils me demandèrent comme une grâce de monter tous deux ensemble au moulin, pour parler au grand-père... Je n’eus pas le courage de refuser, et prrrt ! voilà mes amoureux partis. Tout juste comme ils arrivaient là-haut, maître Cornille venait de sortir. La porte était fermée à double tour ; mais le vieux bonhomme, en partant, avait laissé son échelle dehors, et tout de suite l’idée vint aux enfants d’entrer par la fenêtre, voir un peu ce qu’il y avait dans ce fameux moulin...Chose singulière ! la chambre de la meule était vide... Pas un sac, pas un grain de blé ; pas la moindre farine aux murs ni sur les toiles d’araignée... On ne sentait pas même cette bonne odeur chaude de froment écrasé qui embaume dans les moulins... L’arbre de couche était couvert de poussière, et le grand chat maigre dormait dessus.
La pièce du bas avait le même air de misère et d’abandon : — un mauvais lit, quelques guenilles, un morceau de pain sur une marche d’escalier, et puis dans un coin trois ou quatre sacs crevés d’où coulaient des gravats et de la terre blanche.
C’était là le secret de maître Cornille ! C’était ce plâtras qu’il promenait le soir par les routes, pour sauver l’honneur du moulin et faire croire qu’on y faisait de la farine... Pauvre moulin ! Pauvre Cornille ! Depuis longtemps les minotiers leur avaient enlevé leur dernière pratique.
Les ailes viraient toujours, mais la meule tournait à vide.Les enfants revinrent tout en larmes, me conter ce qu’ils avaient vu. J’eus le cœur crevé de les entendre... Sans perdre une minute, je courus chez les voisins, je leur dis la chose en deux mots, et nous convînmes qu’il fallait, sur l’heure, porter au moulin Cornille tout ce qu’il y avait de froment dans les maisons... Sitôt dit, sitôt fait. Tout le village se met en route, et nous arrivons là-haut avec une procession d’ânes chargés de blé, — du vrai blé, celui-là ! Le moulin était grand ouvert... Devant la porte, maître Cornille, assis sur un sac de plâtre, pleurait, la tête dans ses mains. Il venait de s’apercevoir, en rentrant, que pendant son absence on avait pénétré chez lui et surpris son triste secret.
— Pauvre de moi ! disait-il. Maintenant, je n’ai plus qu’à mourir... Le moulin est déshonoré.
Et il sanglotait à fendre l’âme, appelant son moulin par toutes sortes de noms, lui parlant comme à une personne véritable. À ce moment, les ânes arrivent sur la plate-forme, et nous nous mettons tous à crier bien fort comme au beau temps des meuniers :
— Ohé ! du moulin !... Ohé ! maître Cornille !
Et voilà les sacs qui s’entassent devant la porte et le beau grain roux qui se répand par terre, de tous cotés...
Maître Cornille ouvrait de grands yeux. Il avait pris du blé dans le creux de sa vieille main et il disait, riant et pleurant à la fois :
— C’est du blé !...
Seigneur Dieu !... Du bon blé !... Laissez-moi, que je le regarde.
Puis, se tournant vers nous :
— Ah ! je savais bien que vous me reviendriez...
Tous ces minotiers sont des voleurs.
Nous voulions l’emporter en triomphe au village :
— Non, non, mes enfants ; il faut avant tout que j’aille donner à manger à mon moulin... Pensez donc ! il y a si longtemps qu’il ne s’est rien mis sous la dent !
Et nous avions tous des larmes dans les yeux de voir le pauvre vieux se démener de droite et de gauche, éventrant les sacs, surveillant la meule, tandis que le grain s’écrasait et que la fine poussière de froment s’envolait au plafond.
C’est une justice à nous rendre : à partir de ce jour-là, jamais nous ne laissâmes le vieux meunier manquer d’ouvrage. Puis, un matin, maître Cornille mourut, et les ailes de notre dernier moulin cessèrent de virer, pour toujours cette fois... Cornille mort, personne ne prit sa suite. Que voulez-vous, monsieur !... tout a une fin en ce monde, et il faut croire que le temps des moulins à vent était passé comme celui des coches sur le Rhône, des parlements et des jaquettes à grandes fleurs.

lunes, 23 de abril de 2012

Celine Dion- Tous les Secrets + parole





Cette chanson est très douce, je l'aime parce que parler quand la personne montrent la sensation réelle quand l'amour à venir.



Ton regard comme une caresse 

Je me sens si bien 
Puis tes yeux s'envolent et me laissent 
Et je n'ai plus rien 
Qu'un reflet de toi 
Tu es loin déjà 



Je ne connais pas 
Tous les secrets de ton coeur 
Mais je viens quand même, tu vis 
Quelque part entre douleur et douceur 
Mais je viens quand même 
Je te suis quand même 



Tu m'entoures comme un drap de soie 
Je me sens si bien 
Puis je perds l'écrin de tes bras 
Et je n'ai plus rien 
Tu t'en vas là-bas 
Tu es loin de moi 



Je ne connais pas 
Tous les secrets de ton coeur 
Mais je viens quand même, tu vis 
Quelque part entre douleur et douceur 
Mais je viens quand même 
Je te suis quand même.

YELLE "CE JEU"






Fou et telemement evident
Que je n'trouve plus de sens
A ce jeu excitant
Si bon mais si lassant
Tu aimes me manipuler
Et j'aime en faire autant
Nous sommes tout deux victime
De ce doux jeu d'amants

Je f'rais l'effort, je te connais par coeur
Il suffit que je t'ignore
Pour que tu revienne en pleure
Je m'occupe de toi
Tu repars c'est ça
Toujours le même schéma
Et j'anticipe a chaques foi

Refrain :

Fou et telemement evident
Que je n'trouve plus de sens
A ce jeu excitant
Si bon mais si lassant
Tu aimes me manipuler
Et j'aime en faire autant
Nous sommes tout deux victime
De ce doux jeu d'amants

Passion, émotion
Et correction d'équations
J'agite la solution
Mais j'ai toujours la même sensation
C'est telement evident
Que je ne trouve plus de sens
A ce jeux excitant
Si bon mais si lassant

X2
Je ne veux pas d'un amour sans faille
Trop parfait tu ne m'interresse pas
Folle de toi surtout quand tu pars
Fou de moi j'y vais de ce pas

Fou et telemement evident
Que je n'trouve plus de sens
A ce jeu excitant
Si bon mais si lassant
Tu aimes me manipuler
Et j'aime en faire autant
Nous sommes tout deux victime
De ce doux jeu d'amants

Je me perd parfois
Souvent c'est bien fait
Et tu caches ta joie
Parce que tu m'a eu 
Comme une proie bête et gentille
Qui ne tire pas d'leçons
Du piége grossier et facile
D'un charmant garçon

Mais c'est vraiment trop facile
Des qu'tu sourie tu m'fascine
Comme un aimant sur un fil de fer
Tendue et abile
Mais c'est vraiment trop facile, 
C'est ma pomme qui te fascine
Je tourne le dos pour partir
Tu sais qu'elle n'est pas acide.

Fou et telemement evident
Que je n'trouve plus de sens
A ce jeu excitant
Si bon mais si lassant
Tu aimes me manipuler
Et j'aime en faire autant
Nous sommes tout deux victime
De ce doux jeu d'amants

Edith Piaf - Padam Padam



Retour quelques années de se rappeler, Edith Piaf le meilleur chanteur, cette chanson est comme un hymne, je l'aime parce que sa voix est très difficile et agréable.



Cet air qui m'obsède jour et nuit
Cet air n'est pas né d'aujourd'hui
Il vient d'aussi loin que je viens
Traîné par cent mille musiciens
Un jour cet air me rendra folle
Cent fois j'ai voulu dire pourquoi
Mais il m'a coupé la parole
Il parle toujours avant moi
Et sa voix couvre ma voix

Padam...padam...padam...
Il arrive en courant derrière moi
Padam...padam...padam...
Il me fait le coup du souviens-toi
Padam...padam...padam...
C'est un air qui me montre du doigt
Et je traîne après moi comme un drôle d'erreur
Cet air qui sait tout par cœur

Il dit: "Rappelle-toi tes amours
Rappelle-toi puisque c'est ton tour
'y a pas d'raison pour qu'tu n'pleures pas
Avec tes souvenirs sur les bras...
" Et moi je revois ceux qui restent
Mes vingt ans font battre tambour
Je vois s'entrebattre des gestes
Toute la comédie des amours
Sur cet air qui va toujours

Padam...padam...padam...
Des "je t'aime" de quatorze-juillet
Padam...padam...padam...
Des "toujours" qu'on achète au rabais
Padam...padam...padam...
Des "veux-tu" en voilà par paquets
Et tout ça pour tomber juste au coin d'la rue
Sur l'air qui m'a reconnue
...
Écoutez le chahut qu'il me fait
...
Comme si tout mon passé défilait
...
Faut garder du chagrin pour après
J'en ai tout un solfège sur cet air qui bat...
Qui bat comme un cœur de bois...

Son pseudonyme Shy'm provient d'une part de Shy qui signifie timide en anglais, et d'autre part du M de Martinique. Sa passion lui permet aujourd'hui de surmonter sa timidité et elle prend désormais « plaisir à se jeter dans la foule »
SurnomShy'm
NomTamara Marthe
Naissance28 novembre 1985 (26 ans)
TrappesÎle-de-France
Pays d'origineDrapeau de France France
Activité principaleChanteuse
Danseuse
Genre musicalRnB
Pop
Electro-pop





Yelle est un groupe français d'électro-pop, originaire de Bretagne, composé de la chanteuse Yelle (Julie Budet), de GrandMarnier(Jean-François Perrier) et de Tepr (Tanguy Destable). Découvert sur Internet en 2005, via le réseau social MySpace, le groupe Yelle compte deux albums à son actif.

Dans la foulée de la sortie de l'album, Yelle assure la première partie de la tournée française de Mika en octobre 2007. Un an plus tard, en octobre 2008, le groupe effectue une série de concerts aux États-Unis, avant de se rendre en Espagne. Outre-Atlantique, elle réalise un remix de Hot N Cold de Katy Perry. Elle participe aussi à un live du groupe de hip-hop alternatif Chiddy Bang (en) sur leur chanson Fresh Like Us...
Actuellement, l'album Pop-up s'est vendu à 120.000 exemplaires dans le monde.

YELLE - Comme Un Enfant





J'aime les fraises Tagada, et j'rêve d'un Wayne's world 3
J'veux une méga happy end enlacée dans tes bras
Je n'ai pas de dents de sagesse, ça ne me manque pas.
Quand je mord la nuit a pleine dents pour faire la nouba,


Je suis un enfant, comme un adolescent
Je suis un adulte, comme un adolescent
Faut il vraiment choisir son camp (choisir son camp)
Le faut-il vraiment, comme un adolescent


Je chante et je pleure comme un enfant (comme un enfant)
Je joue à me faire peur comme un enfant (comme un enfant)
Je pense tout et son contraire comme un enfant (comme un enfant)
Je danse, j'ai le coeur à l'envers comme un enfant (comme une enfant)


Je suis sensible au divertissement,
Mes gencives savent que le dentiste ment
La drogue agit sur moi lentement,
Ah non j'suis con, c'est un efferalgan
Avoue les faits espèce de langue de bois,
Avoue l'effet que j'ai sur toi,
Je t'enfantise comme un caranougat
Je t'immunise sur ce refrain en la


Je chante et je pleure comme un enfant (comme un enfant)
Je joue à me faire peur comme un enfant (comme un enfant)
Je pense tout et son contraire comme un enfant (comme un enfant)
Je danse, j'ai le coeur à l'envers comme un enfant (comme une enfant)



Jenifer - Je danse (clip officiel)





J'ai, un peu de mal 
à trouver le sommeil 
Quand je t'imagine 
A ses monts et merveilles 
Alors j'enfile une veste 
Et un verre de vodka 
Tant pis si j'empeste 
La trouille et le tabac 

Je danse jusqu'à rire 
Je prie le jour de ne jamais revenir 
J'ai moins peur à vrai dire 
Des vampires que de ton souvenir 
Je danse jusqu'à rire 
La nuit la vie est moins pire 
J'ai moins peur à vrai dire 
Des vampires que de ton souvenir 

Seule je rejoins le centre 
De la ville et de l'univers 
Je tourne en rond dans le ventre
de ce monde qui tourne à l'envers
Saoûl, je suis sur la piste 
Écris mes maux d'amours à l'oreille 
De choristes d'un tube de mauvais goût 
De mauvais goût 

Je danse jusqu'à rire 
Je prie le jour de ne jamais revenir 
J'ai moins peur à vrai dire 
Des vampires que de ton souvenir 
Je danse jusqu'à rire 
La nuit la vie est moins pire 
J'ai moins peur à vrai dire 
Des vampires que de ton souvenir 

Tout le monde se fout de mes raisons 
La nuit se pose moins de questions 
Dans le berceau des petites gloires 
On veut du rêve pas de l'espoir 
Tout le monde se fout de mes raisons 
La nuit se pose moins de questions 
Les loups ne donne pas de prénom 
Ils pissent partout et puis s'en vont 

On est quand même en avance 
Dès qu'on connait quelques pas de danses 
Je ferais bien tourner la chance 
Et virevolter mes cavalières de transes

Mais ce n'est pas encore ce soir
que quelques part remplacerons
la beauté ou le pouvoir 
et je rentre à la maison 
Et ma baignoire, c'est une crique
Et à la télé c'est l'Afrique 
Et tu me manques 
Et la musique dans mes oreilles c'est la panique 

Ce soir encore je t'en ai voulu 
Ce soir encore je me suis déçue 
J'ai joué sur le bord en espérant tomber des nues 
Mais tu me manques encore, tu me manques 

Je danse jusqu'à rire 
Je prie le jour de ne jamais revenir 
J'ai moins peur à vrai dire 
Des vampires que de ton souvenir 
Je danse jusqu'à rire 
La nuit la vie est moins pire 
J'ai moins peur à vrai dire 
Des vampires que de ton souveni